La discipline domestique de La Matrone

Catégories : Hommes fessés
il y a 7 ans

J’ai rencontré La Matrone via Fessestivites. Nous avons échangé des MP avant de passer aux emails en dehors du site. Entre nous le courant passait bien, que j’aime recevoir la fessée lui plaisait, une chance pour moi car les fesseuses sont rares. Lorsqu’elle a accepté de me rencontrer, j’ai cru rêver. C’était en mai 2014, je m’en souviens comme si c’était hier. J’étais à la fois inquiet et à la fois excité. Nous avons pris un goûter dans une brasserie puis, comme elle était rassurée sur mon état d’esprit, elle m’a invité chez elle pour ma première fessée.

Debout devant elle dans l’immense salon de son appartement, situé dans les vieux immeubles cossus du centre de Marseille, j’étais comme un gamin. Je me tournais les doigts transpirant d’inquiétude. La Matrone a tenue à s’occuper de tout. Elle a défait ma ceinture puis le bouton de mon pantalon sans aucune gêne puis l’a carrément baissé en même temps que mon slip. A moitié à poil avec mes vêtements sur les pieds je n’étais pas fier.

La Matrone a la main lourde malgré une corpulence gracieuse, la taille des bras ne donne pas obligatoirement de la puissance, croyez-moi sur parole. Pour ma première fessée, avec elle car j’en avait déjà reçues quelques unes avant, j’ai découvert que cela pouvait « mordre ». Couché fesses nues sur ses genoux, j’ai serré les dents et encaissé sans broncher ou presque. Là où cela a commencer à devenir plus difficile, c’est quand elle s’est mise à me fesser à deux mains. Une après l’autre elles vont plus vite et ne laissent pas le temps d’apprivoiser la douleur. Lorsqu’elle s’est arrêtée en me disant « que l’on s’arrêtait là pour une première » j’étais aux anges malgré mes fesses en feu car « première » signifiait qu’elle envisageait de renouveler.

Nous nous sommes revus plusieurs fois, certaines sans jouer autour de la fessée, juste pour le plaisir d’être ensembles. Etant assez timide avec les femmes, je n’ai jamais tenté de rapprochement. Un jour, elle m’a demandé si elle ne me plaisait pas. Je suis tombé des nus. Devant les réponses d’un mec en perdition ayant peur de la perdre, elle a conclu par « embrasse-moi idiot ». Une heure plus tard, nous faisions l’amour, j’étais l’homme le plus heureux de la terre. Depuis, nous ne nous sommes plus quittés, hormis pour aller travailler ou pour quelques obligations. Lors de nos rencontres, des fessées il y en a eu beaucoup. Certaines pour le plaisir, d’autres punitives, chose que j’acceptais malgré la douleur car cela faisait partie du jeu. (pour moi)

Un an plus tard, je rompais mon bail et m’installais chez elle.

En 2015, nous nous sommes rendus à une rencontre Pique-nique de Fessestivites. Le thème du week-end était « la fessée ». Cela fessait de partout et devant tout le monde. Si c’était très excitant à voir, quand La Matrone m’a attrapé par l’oreille pour m’en donner une devant tout le monde j’étais moins fier. Toute honte bue, je me suis laissé faire mais cela fut dur pour moi que l’on me voit prendre une fessée.

Et là, lors d’une discussion pendant le repas sur le thème de la fessée, lorsqu’elle a indiqué que pour elle la fessée n’était pas qu’un jeu mais un Art de vivre j’ai confirmé. Mais quand dans la discussion elle a ajouté, « je suis réellement une adepte de la discipline domestique, c’est ça ou la porte si cela ne plait pas », j’ai pris conscience que mon choix de vie était tout tracé. Ou j’acceptais d’être puni, ou elle me virerait ! ! !

Ne pas avoir le choix et que cela ne soit plus un jeu érotique pour moi m’a perturbé.

TSM, l'hôte des lieux expliqua que pour lui c’était la même chose. Sa soumise approuva et indiqua qu’elle ne pourrait pas vivre autrement, que les mecs vanilles ne l’intéressaient pas. Elle indiqua avec la conviction d’une bavarde, très sympa au demeurant, que sans discipline elle était mal dans sa peau, que pour elle s’était rassurant d’être encadrée et cadrée ! Pour moi, ce n’était pas la même chose !

La Matrone s’entendait à merveille avec TSM sur de nombreux points, dans leurs discussions j’ai compris que j’avais fait le choix de m’imposer de la discipline à vie et pas seulement pour jouer. Ce Très Sadique Mec lui a offert une de ses cannes anglaises et lui a fait voir comment s’en servir sur un cobaye tout trouvé : moi ! Etre fessé, ou plutôt canné par un homme ne m’a pas du tout amusé ! La Matrone s’en moquait, je me devais d’obéir. C’est donc devant tout le monde que j’ai été canné modérément par TSM puis par La Matrone qui s’exerçait sous les conseils de l’hôte.

La nuit ne porte pas toujours conseil ! Le lendemain, nous avons encore un peu joué, La Matrone a donné quelques fessées, une Maîtresse m’en a donné une petite, l’ambiance était ultra décontractée. J’ai justement trop aimé l’ambiance ! Sous le soleil, l’apéritif glisse tout seul dans le gosier, le rosé frais aussi avec les grillades. Et donc dans cette ambiance festive je ne me suis pas méfié et j’ai un peu trop bu.

LES YEUX NOIRS DE LA MATRONE

Je ne l’avais jamais vue comme ça, froide, impassible, ses yeux noirs me lançaient des regards inquiétants. Nous venions de prendre le café lorsqu’elle déclara que nous allions rentrer. J’ai du lui dire un tuc du type, « on n’est pas pressés chérie » par contre, je me souviens très bien de sa réponse faite devant tout le monde !

« Tu me fais honte, tu es ivre, nous en reparlerons en arrivant à la maison, donne-moi les clés de la voiture »

Le ton était aussi froid que ses yeux et son visage fermé. Certains des participants se sont amusés à dire qu’il y avait de la fessée dans l’air. D’autres ont compris qu’il y avait de l’orage dans l’air et qu’elle ne plaisantait pas. J’ai essayé de négocier pour que l’on reste un peu en lui disant que je ne boirai plus que de l’eau. Elle a croisé les bras en me braquant du regard avant de me dire : « Tu veux te faire punir devant tout le monde ou tu préfères que l’on soit seuls » ?

Pour ne pas faire d’esclandre j’ai fanfaronné un peu tout en acceptant de quitter les lieux si chaleureux. Une heure trente minutes de route, une heure trente minutes de silence glacial malgré la chaleur torride du mois de juillet. Lorsque nous sommes arrivés à la maison, elle m’a ordonné de me mettre nu. J’ai refusé en lui disant que je voulais que l’on discute tout en précisant que j’étais désolé, que je m’étais fait piéger par le soleil. Elle a insisté, j’ai répondu que je n’acceptais pas d’être puni. Sa réponse a été cash : « sois tu acceptes d’être puni pour m’avoir fait honte, soit tu fais tes valises » !

Cette phrase m’a trucidé. J’ai vu ma vie se dessiner sans elle, j’étais mal. Très mal. Comme je n’arrivais pas à me décider, elle m’a demandé si je me remettrai mieux d’une punition ou de notre séparation. A sa voix cassante et froide, je savais qu’elle ne plaisantait pas. L’idée de perdre ma bien aimée m’était insupportable, alors j’ai baissé les yeux et me suis à nouveau excusé. Elle s’est approchée de moi, a soulevé ma tête avec un doigt sous mon menton, elle a déposé un baiser sur mes lèvres et m’a dit de choisir. Et là, j’ai cédé.

Je me suis dévêtu comme demandé. La Matrone m’a conduit face contre un mur et m’a fait de mettre les mains derrière la tête. Elle m’a laissé méditer à la honte qui venait d’être la sienne. Elle m’a aussi laissé avoir peur.

Au bout d’un moment, elle m’a appelé puis désigné une chaise au milieu du salon. J’ai du me pencher par dessus le dossier et poser mes mains sur la chaise. Et là, je l’ai entendue siffler. Une seconde plus tard, un trait de feu traversait mes fesses. Chaque coup de canne posé qu’elle m’a donné m’ont fait un mal de chien. Mes jambes se relevaient par réflexe au début, à la fin de ma fessée à la canne, elles se repliaient, je peinais à rester debout. Mes yeux mouillaient tant j’avais mal. La Matrone a posé la canne sur mon dos puis m’a interdit de bouger. Seul, immobile avec mes lamentables reniflements et mes yeux mouillés, je n’avais qu’une hâte, masser mes fesses. C’est un mouchoir tendu qui m’a remmené sur terre.

La Matrone a passé de la crème sur mon fessier en feu, elle a insisté à certains endroits douloureux avant de prendre une serviette qu’elle a posé sur ses genoux en s’essayant sur le canapé. Je me souviens de l’avoir suppliée, elle m’a souri et demandé de la rejoindre. Elle m’a pris sur ses genoux et câliné, en me disant que j’étais pardonné.

Effectivement, pour La Matrone la fessée n’est pas qu’un jeu. Si depuis ce jour là, je fais très attention à la boisson, il s’est aussi passé quelque chose en moi : mon acceptation d’être réellement puni quand je le mérite.

Ecrivaillon

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